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La prise en
compte de l'espace intérieur dans sa globalité, la recherche
d'harmonie, la convergence des effets vers un même but ont sans
doute amené Arthur Regnault à considérer le mobilier
religieux comme l'aboutissement de l'architecture.
Point d'accroche du regard dans des édifices clairs où le
décor s'efface devant les lignes de la construction, le mobilier
concentre l'ornement, la fantaisie, la préciosité du détail
et des matériaux. L'attention est naturellement guidée vers
la chaire à prêcher, puis vers le choeur et le maître-autel,
espace privilégié de la liturgie, où se déroule
le sacrifice de la messe.
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